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PROCÉDÉS PHOTOGRAPHIQUES ANCIENS

CYANOTYPE , GOMME BICHROMATÉE , VAN DYKE ...

  • LA PHOTOGRAPHIE ALTERNATIVE :

L’expression nous vient d’un groupe d’artistes photographes américain qui, dans les années 1960, a exploré les procédés anciens comme alternative à la photo industrielle. Ils se sont inspirés des mouvements de la fin du 19e et début 20e des photographes pictorialistes (en France) et de la Photo Secession (aux USA). Aujourd’hui, les photographes alternatifs mixent les techniques numériques et les procédés anciens pour réaliser des épreuves uniques avec le supplément d’âme qu’apportent la main et le geste.

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  • LA GOMME BICHROMATÉE - OU PIGMENTÉE :

De tous les procédés photographiques, celui à la gomme pigmentée offre le plus de possibilités d’interprétation mais c’est également l’un des plus difficiles à maîtriser. La gomme pigmentée est le procédé emblématique de la photographie d’art. La production d’épreuves à la gomme a toujours été exceptionnelle. Dans les ventes spécialisées, les gommes sont rares et les prix atteignent des sommets.

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Détails à échelles de 5mm et 1mm : les granulations diffèrent selon la nature et le traitement des pigments. Le relief, le velouté et la profondeur sont caractéristiques du rendu de la gomme :

  • LA GOMME BICHROMATÉE - OU PIGMENTÉE :

De tous les procédés photographiques, celui à la gomme pigmentée offre le plus de possibilités d’interprétation mais c’est également l’un des plus difficiles à maîtriser. La gomme pigmentée est le procédé emblématique de la photographie d’art. La production d’épreuves à la gomme a toujours été exceptionnelle. Dans les ventes spécialisées, les gommes sont rares et les prix atteignent des sommets.

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Détails à échelles de 5mm et 1mm : les granulations diffèrent selon la nature et le traitement des pigments. Le relief, le velouté et la profondeur sont caractéristiques du rendu de la gomme :

  • LA GOMME BICHROMATÉE EN "NOIRS VIBRANTS" ET "TERRES ET NOIRS" :

 

Les noirs vibrants, est une technique personnelle de Jean-Baptiste Rabouan pour les épreuves monochromes noir et blanc à la gomme bichromatée. Le principe de base consiste à ne pas utiliser de pigment noir et de constituer les noirs uniquement avec les couleurs primaires. La variante « terres et noirs » consiste a ajouter une série de couches intermédiaires avec des pigments de terres naturelles. La technique est complexe et difficile à mettre en œuvre mais elle donne des nuances de noirs inimitables qui varient, vibrent, en fonction des valeurs de gris, de l’angle et de la nature de l’éclairage sur l’épreuve.

  • LA GOMME BICHROMATÉE EN "NOIRS VIBRANTS" ET "TERRES ET NOIRS" :

 

Les noirs vibrants, est une technique personnelle de Jean-Baptiste Rabouan pour les épreuves monochromes noir et blanc à la gomme bichromatée. Le principe de base consiste à ne pas utiliser de pigment noir et de constituer les noirs uniquement avec les couleurs primaires. La variante « terres et noirs » consiste a ajouter une série de couches intermédiaires avec des pigments de terres naturelles. La technique est complexe et difficile à mettre en œuvre mais elle donne des nuances de noirs inimitables qui varient, vibrent, en fonction des valeurs de gris, de l’angle et de la nature de l’éclairage sur l’épreuve.

  • LE CYANOTYPE :

Procédé aux sels de fer relativement simple à mettre en œuvre, le cyanotype est pour beaucoup d’artistes photographes la porte d’entrée aux procédés artisanaux. Néanmoins, réussir de beaux cyanotypes requiert beaucoup de savoir-faire. Par les jeux de virages, le cyanotype offre beaucoup de nuances de bleus - sa teinte naturelle - du cyan au bleu de Prusse.

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Video cyanotype "Le Monde En Bleu" :

rabouan_cyanotype_couv.jpg

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132 pages en couleur 21,6 x 27,9 cm.

  • LE CHARBON :

C’est un cousin de la gomme bichromatée. Les deux procédés partagent le podium des plus beaux procédés photographiques. Le charbon offre une gamme de tonalité étendue avec des noirs d'une profondeur insoupçonnée et des lumières d'une éclatante blancheur. Tout comme la gomme, il est inaltérable. D'une extrême complexité, il est sans conteste l’un des procédés nobles en photographie, plébiscité dès son invention par tous les pictorialistes du 19e siècle et jusqu'à aujourd'hui par les artistes contemporains.

Détail à échelle de 1mm. L'image a été transférée dans les fibres du papier, l'absence d'épaisseur lui donne une grande précision et une gamme de valeur exceptionnelle :

  • LE PAPIER SALÉ OU ALBUMINÉ :

Ils font parti des procédés dits à noircissement direct. La relative simplicité de leur mise en œuvre permettra à des artistes des premières décennies de la photographie comme Nadar, Le Gray, Le Seq, Adjet et tant d’autres, d'inscrire leurs œuvres au panthéon de la photographie. Aujourd'hui leurs images ont intégré les grandes collections de photographies et se vendent à des prix vertigineux.

Détail à échelle de 1mm. Noter l'imprégnation des sels d'argent au cœur du papier :

  • LE CALOTYPE :

Lorsque la photographie est officiellement inventée en 1839, deux procédés majeurs voient le jour : le daguerréotype qui consiste en une épreuve unique sur plaque argentée en impression directe et le calotype (ou talbotype) qui propose un système de négatif papier à tirer en positif et donc reproductible. Le négatif papier estompe les détails et permet de nombreuses interventions, il a donc la faveur des photographes ayant une intention d’art (kalos, beau en Grec). Aujourd’hui la technique se réalise avec des négatifs sur papier ciré d’après impression numérique.

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  • TERROTYPES :

Technique mise au point par Jean-Baptiste Rabouan qui consiste à utiliser la terre collectée sur le site de la prise de vue pour réaliser le tirage photographique. Le principe s'appuie sur les procédés photographiques anciens aux colloïdes bichromatés. Les rendus des terrotypes dépendent de ce que la terre du lieu photographié veut bien offrir.

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